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14 – Pierre-Antoine Beauquis et Marie-Louise Bertrand

  14 – Pierre-Antoine Beauquis et Marie-Louise Bertrand Pierre-Antoine épouse Marie Louise Bertrand en janvier 1870.  Ils ont respectivement 23 et 24 ans.  Ils seront les parents de 9 enfants : Marie Auguste 1871-1948 marié le 4 juillet 1903 avec Marie Joséphine RELLIER 1878-1931/   Marie Joseph Octave 1873-1958 marié le 8 mars 1902 à Paris avec Marguerite Louise BAZIN 1878-1953 Marie Madeleine Ursule 1874-1876 Marie Eugénie 1876-1935/ mariée le 25 novembre 1905 à Doucy, avec Marie Joseph BOUVIER 1873- Marie Dominique 1878-1879 Jacques Aimé 1879-1915 marié le 14 juillet 1906, à Doucy avec Elisa Philomène TOURNIEUX 1885-1918 Jules François 1882 Louis Jules 1884-1914 marié le 2 juillet 1910, à Doucy avec Angèle Léonie BOUVIER 1894-1970 Esprit Frédéric 1888-1916   La famille est prise en photo  lors du mariage de Auguste  en Juillet 1903  De gauche à droite :  En haut        Louis   -  Jacques   -  Marie Eugénie  -   Auguste et son épouse Marie RELLIER   Au centre Lo

13 – Le grand incendie de Doucy de 1869

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  13 – Le grand incendie de Doucy de 1869 dans la presse 

12 – Jean-Antoine Beauquis et Jeanne-Marie Muraz

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  12 – Jean-Antoine Beauquis et Jeanne-Marie Muraz Jean-Antoine est déclaré comme laboureur ou cultivateur. Il se marie avec Jeanne-Marie Muraz à Doucy en 1821. Il est âgé de 29 ans et son épouse de seulement 15 ans. Bien que parents de 13 enfants, le couple et leur famille connaissent un destin tragique.    10 enfants meurent en bas âge : -         Mélanie née en 1823 décède à 6 ans -         Sylvie née en 1825 décède à 2 mois -         Pierre François né en 1826 décède également à 2 mois -         Marie Rose née en 1828 décède à 5 ans -         Julie née en 1831 décède en bas âge -         Maurice né en 1838 décède en bas âge -         Marie Victorine née en 1840 décède à 5 ans -         Siméon né en 1842 décède à 3 ans -         Louis né en 1844 décède encore à 5 ans -         Rosalie née en 1849 décède à 1 an    En  1869, la famille n’est donc plus composée que des parents et de 3 enfants -           François né en 1833, muet   -         Sylvie née

11 - Pierre-François et Oyende Bouvier-Garzon

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  11 – Pierre-François Beauquis et Oyende Bouvier-Garzon Pierre-François Beauquis, fils de Louis Beauquis et de Laurence Clerc, se marie avec Oyende Bouvier-Garzon vers 1790 à Doucy. Elle est son ainée de presque 10 ans. Ils n’auront que 2 enfants :               - Jean-Antoine né le 8 avril 1792               -   Charlotte  née en janvier 1798 décédée à l’âge de 5 ans En 1792, le nom Beauquis est là encore orthographié Bocchis mais c'est un acte écrit  par un curé de Moutiers pendant ou  après la révolution.  On ne retrouve que peu d’informations sur le couple, à part quelques achats de terrains. Oyende hérite de son oncle Georges Bouvier-Garzon mort à Meudon en 1790. Celui-ci est déclaré comme domestique de la Jeune Marquise de ?? en 1758, bourgeois de Paris et peintre. La famille Bouvier-Garzon envoie un représentant à Paris - en pleine révolution ! -   pour récupérer son héritage qui selon la coutume de Savoie revient aux frères et sœurs. Pierre-Antoine est lui le se

10 – Louis Beauquis et Laurence Clerc

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  10 – Louis Beauquis et Laurence Clerc Louis Beauquis, fils de Jean Baptiste, et Laurence Clerc se marient le 3 juillet 1765 à La Bâthie. L’acte de mariage est assez surprenant car c’est le seul dans le registre qui ne comporte pas de témoins : Je n’ai pas non plus trouvé de contrat de mariage alors que le père de Louis est assez « procédurié » et rédige de nombreux contrats devant notaire. Les pères des mariés ne semblent pas être présents. Est-ce que le mariage n’était pas souhaité par les parents ? Et pourquoi à La Bathie ? Laurence est veuve depuis 1758, et je n’ai pas trouvé sa trace depuis cette date. Laurence s’est peut-être placée dans la commune. C’est aussi à La Bathie que sa demi-sœur viendra se marier 5 ans plus tard. Le curé de La Bathie Philibert David qui les marie est le grand-oncle de Laurence, est-ce une piste d’explication pour le lieu ? Le couple aura 4 enfants : Un premier enfant Jean Baptiste nai

9 - Laurence Clerc à Aigueblanche

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9 - Laurence Clerc à Aigueblanche Laurence a peut-être rencontré son mari Eusèbe Perret par l'intermédiaire du cousin de celui-ci Jean-Baptiste Perret qui est curé de Pussy de 1748 à 1760. Après leur mariage en 1755, Laurence s'installe à Aigueblanche dans la maison familiale de son mari.   E usèbe est maréchal-ferrant comme son père, son grand-père et arrière-grand-père. Eusèbe n'avait que 8 ans lorsque son père est mort en 1733 mais il a peut-être appris le métier avec un de ses oncles. Etant le seul garçon parmi les 6 enfants de sa fratrie, il a ainsi hérité de la maison familiale et de la "boutique" de maréchal. D'après les inventaires réalisés en 1733 puis 1759 il semble que leur activité ressemble plutôt à la forge et à la tonnellerie qu'au métier de maréchal-ferrant. Onze mois après leur mariage, le couple donne naissance à une première petite fille Françoise, puis deux ans après encore une fille Barbe. Malheureusement elles sont décéd

8 - Le trousseau de Laurence

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8 - Le trousseau de Laurence Clerc En 1755, Laurence a maintenant 20 ans.  Comment a-t-elle vécu sa jeunesse ? a-t-elle été délaissée par son père, témoin de tous ces deuils et élevée par ses belles-mères ? ou bien choyée et gâtée par son père Maurice Clerc comme  première fille et la seule ayant survécu des 12 enfants nés avant sa petite dernière encore fragile ? Quoiqu'il en soit le contrat dotal de son mariage organisé avec Eusèbe Perret, maréchal ferrant à Aigueblanche, démontre d'une certaine aisance par la constitution de son trousseau.  Les descriptifs correspondent à la mode du XVIIIe siècle en Savoie par les tissus et les couleurs utilisées :    ( source et complément : www.maurienne-genealogie.org/costume.htm ) L’an mille sept-cent-cinquante-cinq et le dix-septième du mois de mai avant midi dans la maison du constituant située au village de l’église paroissiale de Pussy , il est ainsi que mariage prétendu s’accomplir en face de notre mère l’Eg